Introduction

La Triennale de l’ADEA sur l’éducation est l’un des forums de haut niveau le plus important d’Afrique en matière de dialogue politique et de partage de connaissances et d’expériences probantes. Elle met les projecteurs sur des thèmes critiques qui transforment les systèmes éducatifs africains en vue de parvenir au développement social et économique durable. L’ADEA encourage, au travers de la Triennale, les interactions continentales, régionales et transnationales dans l’optique de favoriser l’apprentissage et l’échange de connaissances entre pairs. Au-delà de cet événement phare, l’ADEA facilite les processus d’examen par les pairs dans le secteur de l’éducation, y compris les systèmes nationaux d’information de gestion de l’éducation (SIGE), par le biais des ministères de l’éducation. L’Association dispose également de pôles de qualité inter-pays (PQIP) qui offrent des plateformes d’apprentissage et d’échange de connaissances inter pares entre les pays confrontés à des défis similaires. Elle dispose, en outre, d’un centre d’apprentissage et de gestion des connaissances, relié aux plateformes d’autres partenaires, telles que la plateforme de connaissances du groupe de travail de l’UNESCO sur les enseignants.

La Triennale 2022 fait suite aux deux premières organisées à Ouagadougou et à Dakar en 2012 et en 2017. Elle s’articule autour des priorités clés de l’Afrique que sont l’apprentissage fondamental, l’impact de la COVID-19 sur les systèmes éducatifs du continent en termes de réponses politiques et pratiques, la mise en adéquation de la demande et de l’offre dans le développement des compétences techniques et professionnelles et la réinvention de l’enseignement supérieur en Afrique. La technologie et, en particulier, la numérisation, constitue une composante essentielle de la quête actuelle visant à rebâtir des systèmes éducatifs plus résilients pour le continent. Elle recoupe donc les quatre domaines d’action (l’impact de la pandémie de COVID-19, l’apprentissage fondamental, le développement des compétences techniques et professionnelles et l’enseignement supérieur) ciblés, en sus des thèmes transversaux que sont le genre, l’équité, l’inclusion et le changement climatique.

Dans ce cadre, le thème proposé pour la Triennale 2022 se décline comme suit :

Réfléchir à l’impact de la COVID-19 sur les systèmes éducatifs africains et comment renforcer la résilience pour soutenir le développement des compétences pour le continent et au-delà.

Sous ce thème sont proposés quatre sous-thèmes, à savoir :

  1. l’impact de la COVID-19 sur les systèmes éducatifs africains ;
  2. l’apprentissage fondamental ;
  3. le développement des compétences techniques et professionnelles ; et
  4. la réinvention de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Dans le cadre de l'accélération des progrès vers l'ODD 4 - et le CESA 16-25 pour l'Afrique, le Secrétaire général de l'ONU organise un Sommet de la transformation de l'éducation (TES) à New York en septembre 2022. L'objectif est de rallier les acteurs de l'éducation pour qu'ils s'engagent à "mobiliser l'action, l'ambition, la solidarité et les solutions". Cette démarche est essentielle pour transformer l'éducation au cours de la période restante, et au-delà, pour l'ODD4 et le CESA 16-15. Les résultats de la TES (engagements renouvelés, engagement public accru, résumé et appel à l'action) seront diffusés et discutés plus en détail lors de la Triennale 2022 de l’ADEA à Maurice en octobre.

Contexte, initiatives et problèmes

Réflexions sur les systèmes éducatifs africains à l’aune de l’expérience de la COVID-19 :

Les interventions susceptibles d’avoir un impact sont celles qui sont ancrées dans des politiques et des stratégies robustes et étayées par des données factuelles. Les interventions doivent également être bien planifiées et dotées de ressources, exécutées de façon efficiente et faire l’objet d’un suivi et d’une évaluation efficaces. La pandémie de COVID-19 a mis au jour l’insuffisance de préparation, en particulier dans le secteur de l’éducation. Les réponses politiques et pratiques des pays africains visant à assurer l’éducation à domicile lors des toutes premières phases de la pandémie ont été largement réactionnaires alors que les connaissances sur la pandémie continuaient à se faire jour. Il est donc impératif de procéder à une planification prospective en gardant à l’esprit les situations de crise telles que celle de la COVID-19. La collaboration de l’ADEA avec les pays africains au niveau des politiques et de la mise en œuvre des stratégies d’apprentissage continu, en ce qui concerne la réouverture des établissements d’enseignement et la « nouvelle normalité » de l’avenir, à l’aune de l’expérience de la pandémie de COVID-19, a permis de tirer de précieux enseignements.

Au nombre des principales recommandations relatives au nouveau modèle de prestation de services éducatifs, citons la révision de la politique générale et des directives réglementaires afin d’intégrer la technologie numérique, le renforcement du perfectionnement professionnel des enseignants, la recherche d’autres modèles de financement et la révision des normes et standards existants. Parmi les initiatives en cours, figurent l’élaboration de boîtes à outils permettant aux pays d’évaluer leurs systèmes d’enseignement à distance et de mettre en place les mesures d’atténuation nécessaires pour assurer une éducation efficace et inclusive pendant les crises. Opérant sous le prisme du genre, de l’équité et de l’inclusion, l’Observatoire KIX sur les réponses à la COVID-19 dans les systèmes éducatifs en Afrique fournit des preuves émanant de 40 pays partenaires du GPE en Afrique sur la façon dont les gouvernements ont rapidement réagi en changeant les politiques et les pratiques pour atténuer l’impact de la pandémie tout en assurant la continuité du fonctionnement des systèmes éducatifs et le bien-être des apprenants au-delà de l’éducation.

S’appuyant sur les expériences antérieures tirées de la pandémie et sous-tendues par ses défis devenus plus clairs, les discussions dans le cadre de ce sous-thème porteront principalement sur : 1) le financement du relèvement de l’éducation dans l’ère post-COVID-19 ; 2) la création de l’environnement propice pour les enseignants (besoins en capacités et en politiques) et les apprenants ; et 3) l’utilisation des infrastructures, de la technologie et de la connectivité pour accroître l’accès à l’éducation et la diversité en la matière.

Apprentissage fondamental :

L’acquisition des compétences de base en lecture et en calcul est nécessaire pour permettre aux enfants de parvenir à des niveaux d’apprentissage plus élevés ainsi que d’acquérir des compétences de niveau supérieur pour un travail décent et épanouissant. Selon la Banque mondiale, avant même que ne survienne la pandémie de COVID-19, près de 90 % des élèves d’Afrique subsaharienne n’étaient pas en mesure de lire et de comprendre ce qu’ils lisaient à l’âge de 10 ans. Ces faibles résultats sont dus à l’insuffisance d’un enseignement efficace de la lecture dans les classes de la plupart des pays. L’apprentissage de la lecture est un processus complexe et non naturel qui requiert que soit reconfiguré le cerveau. Il nécessite un enseignement systématique fondé sur des données probantes et un enseignement dans une langue que les élèves utilisent et comprennent. À l’heure actuelle, il n’en est pas ainsi dans bien de pays. La pandémie de COVID-19 et les fermetures d’écoles qu’elle a entraînées n’ont fait qu’exacerber cette crise.

Les données recueillies dans des pays, tels que le Kenya, montrent qu’il est possible de réaliser des progrès dans la formation des enseignants pour améliorer leurs pratiques pédagogiques à grande échelle et l’apprentissage par les élèves. Au nombre des stratégies efficaces, on peut citer la pédagogie structurée - une approche d’appui aux enseignants alliant des plans de cours structurés, un encadrement des enseignants et du matériel pour les élèves, un enseignement différencié adapté au niveau de l’élève et l’augmentation du temps d’enseignement pour rattraper tout le temps de cours perdu pendant la pandémie de COVID-19 (cf. ce récent rapport UNICEF-UNESCO-Banque mondiale). À cela s’ajoute la nécessité de mettre l’accent sur les aspects de l’apprentissage social et émotionnel, sur les STIM reposant sur le jeu pour l’apprentissage précoce et sur l’alphabétisation familiale. Les coûts et les conditions requises, y compris l’économie politique, y sont liés. Une volonté politique forte peut permettre d’apporter la visibilité nécessaire à l’apprentissage fondamental. Si elles sont bien mises en œuvre, ces solutions éprouvées peuvent permettre aux pays non seulement de se remettre des pertes d’apprentissage liées à la COVID-19, mais aussi d’accomplir des progrès significatifs dans l’amélioration des résultats en matière de lecture et de calcul pour tous d’ici 2030 et contribuer à la réalisation des objectifs de l’Agenda 2063 : L’Afrique que nous voulons.

Développement des compétences techniques et professionnelles :

Une approche holistique du développement des compétences englobe des caractéristiques telles que des parcours d’apprentissage continus et sans rupture, le développement de compétences de base et de niveau supérieur, la transférabilité des compétences et l’employabilité, ainsi que la mise en place de mesures d’atténuation durables en prévision des situations d’urgence imprévues telles que la COVID-19. Les compétences de base communes, le développement des compétences techniques et professionnelles (DCTP) et l’acquisition de connaissances et de compétences scientifiques et technologiques constituent des domaines de compétences critiques nécessaires à l’apprentissage tout au long de la vie et au développement accéléré et durable en Afrique. Bien que la plupart des défis liés au développement des compétences identifiés il y a près de 10 ans subsistent, de nouvelles dimensions se sont fait jour. Il s’agit, notamment, de l’avènement de la numérisation accélérée dans le cadre de la quatrième révolution industrielle (4IR), du regain d’intérêt pour le DCTP, des modèles de financement alternatifs et de la pandémie de COVID-19. Les interventions doivent s’attaquer à plusieurs problèmes entravant la transformation du DCTP afin de mieux aligner les compétences fournies sur les demandes de compétences par le marché du travail. L’une de ces interventions tient à la combinaison des compétences numériques et de la 4IR en vue de renforcer l’intégration de la technologie dans les programmes traditionnels de DCTP. On constate également un financement insuffisant et une formation de piètre qualité dans les systèmes de DCTP publics et privés, notamment une formation et un perfectionnement professionnel continu insuffisants du personnel de l’enseignement et de la formation technique et professionnel (EFTP). Un troisième problème tient à la reconnaissance/l’accréditation limitée des systèmes informels dans le cadre de la gestion du grand nombre de jeunes non qualifiés non scolarisés. Enfin, vient la question de l’élargissement de l’accès au développement des compétences professionnelles dans les zones éloignées ou défavorisées pour favoriser l’amélioration des moyens de subsistance et la réduction de la pauvreté, démarche qui est étroitement liée à la disponibilité d’un financement suffisant.

Réimaginer l’enseignement supérieur en Afrique :

Le développement de l’Afrique passe par un système d’enseignement supérieur et de recherche qui joue un rôle clé dans les stratégies de croissance économique fondées sur le savoir, contribue à la constitution du capital humain, soutient l’innovation et valide les connaissances scientifiques. Bien que certains pays aient adopté des structures de gouvernance de l’enseignement supérieur et impulsé des innovations en matière de formation (universitaire, professionnelle) avec une diversification de la qualité, ces efforts sont à l’évidence insuffisants. Ce déficit est lié aux modes de financement et à leurs limites et, par-dessus tout, au manque d’efficacité et d’efficience dans l’utilisation des ressources. Parmi les priorités, la recherche reste le parent pauvre dans les politiques de nombreux pays africains, les infrastructures, l’équipement, le personnel et le financement bénéficiant d’une plus grande attention. En effet, la contribution de l’Afrique au diagnostic et à la recherche de vaccins contre la pandémie de COVID-19 a été relativement minime, ne représentant que 1 % des résultats de la recherche dans le monde, selon la Banque mondiale (2020). En outre, il existe un décalage entre la recherche actuelle et les domaines de besoins potentiels auxquels il est possible d’appliquer les résultats de la recherche. Par exemple, peu de travaux de recherche sont menés sur le continent dans les domaines des STIM. Ces travaux ne représentent, en effet, que 29 % de la recherche scientifique en Afrique subsaharienne (Banque mondiale, 2014).

L’Afrique doit améliorer la gouvernance de la recherche nationale, promouvoir la recherche menée par les Africains et adapter les résultats de la recherche à ses besoins et à ses priorités. L’élaboration de politiques adéquates pour les systèmes nationaux de recherche et la garantie qu’ils disposent des capacités et des moyens nécessaires à la coordination et à la collaboration sont également des interventions essentielles. Il importe également d’identifier des options de financement innovantes et alternatives qu’il est possible d’utiliser pour développer des mécanismes d’enseignement et d’apprentissage de niveau supérieur. L’implication des partenaires dans cette initiative est essentielle. Ce sous-thème examinera les facteurs, les conditions et les moteurs qui favorisent la recherche menée par les Africains et s’interrogera sur le rôle des différents acteurs, y compris les centres d’excellence existants sur le continent. Les discussions porteront sur la manière dont la recherche peut avoir un impact positif sur l’agriculture et l’industrie alimentaire en Afrique, sur les compétences requises pour produire une main-d’œuvre qualifiée pour l’industrie, sur le rôle des universités et des instituts de recherche dans la promotion de l’utilisation des terres et l’ajout de valeur dans le cadre de la limitation de la dépendance à l’égard des importations et sur la manière dont la technologie peut contribuer à la productivité et à la compétitivité.

Thèmes transversaux :

Les initiatives favorisant la disponibilité des données pourraient être exploitées pour démontrer la manière dont les pays exploitent les données probantes et les analyses pour faire évoluer les systèmes, les politiques et les budgets en faveur de l’éducation. Exploitée de manière efficace et efficiente, la numérisation peut promouvoir la production de données et de preuves pour éclairer ces prises de décision. Pour favoriser une plus grande inclusion des populations vulnérables, il est nécessaire d’allouer davantage de ressources nationales pour garantir la durabilité du financement des réponses d’urgence et de montrer ce en quoi celles-ci s’attaquent aux questions de genre et renforcent l’équité et l’inclusion dans l’éducation. En outre, les gouvernements doivent œuvrer avec des partenaires clés à favoriser des investissements substantiels dans les technologies de l’éducation et les infrastructures d’apprentissage à distance dans les zones difficiles à atteindre ainsi que dans les pays en transition.

Le bien-être des enfants, en particulier des filles et des jeunes femmes, touche à plusieurs questions interdépendantes dans l’environnement d’apprentissage et à l’extérieur de celui-ci. En tant que telles, les interventions d’atténuation nécessitent, pour être couronnées de succès, une approche holistique et multipartite impliquant les gouvernements et les partenaires actifs, y compris les communautés locales. Elles doivent également être adaptées aux situations socioculturelles, socio-émotionnelles et socio-économiques prévalentes. Par exemple, les gouvernements devraient adopter des politiques concrètes de poursuite et de reprise des études, ainsi que des cadres juridiques permettant aux adolescentes qui tombent enceinte de s’adapter à la nouvelle normalité et favorisant leur retour à l’école. Il s’agit, en outre, de préparer les enseignants à soutenir les enfants vulnérables et ceux affectés par la violence sexiste et les problèmes de santé mentale. Il est également possible de fournir des ressources aux jeunes pour stimuler la réflexion critique, en accordant la priorité aux régions et aux communautés où les jeunes ont peu ou pas d’accès aux outils numériques idoines.

Objectifs et résultats attendus de la Triennale

La Triennale 2022 viendra compléter les plateformes de partage de connaissances et d’apprentissage existantes qui permettent aux acteurs de l’éducation et de la formation en Afrique et au-delà d’évaluer l’état d’avancement de la mise en œuvre des recommandations de l’édition 2017 de la Triennale qui s’est tenue à Dakar. Les participants discuteront également des enjeux et des défis de la pandémie de COVID-19 en vue d’établir un consensus autour d’un agenda commun pour l’éducation et la formation pour le continent tourné vers l’avenir. Cet agenda servira de base à l’orientation stratégique de l’ADEA pour les cinq prochaines années.

Objectif général :

Offrir aux parties prenantes la possibilité de dresser un bilan, d’apprendre et de partager des expériences fructueuses sur l’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’éducation et de s’engager collectivement à développer les facteurs clés et à créer les conditions nécessaires à un système éducatif résilient qui favorise le développement des compétences en Afrique et au-delà.

Objectifs spécifiques :

  • dresser le bilan des systèmes éducatifs africains avant et pendant la pandémie de COVID-19 pour guider les orientations stratégiques visant à mettre en place des systèmes éducatifs résilients pour se préparer aux crises futures ;
  • promouvoir le partage de connaissances et d’expériences autour de solutions pratiques et innovantes dans des domaines spécifiques tels que l’intégration des technologies numériques dans l’enseignement et l’apprentissage, le perfectionnement professionnel des enseignants et l’enseignement à distance ;
  • interroger, valider et adopter les tendances nouvelles/émergentes en matière de données probantes, de bonnes pratiques et d’innovations qui contribuent à la reconstitution de la future main-d’œuvre en Afrique par l’éducation et la formation ;
  • identifier et définir les stratégies, les outils, les capacités, les ressources et autres facteurs nécessaires à l’opérationnalisation et à la mise en œuvre réussie des réformes prospectives envisagées ; et
  • créer un consensus, un engagement et des partenariats entre les ministères et d’autres acteurs de l’éducation en Afrique pour une mise en œuvre réussie des réformes proposées, alignés sur les engagements et l'appel à l'action du TES.

Résultats escomptés :

  • évaluations des réformes des systèmes éducatifs africains entreprises depuis la Triennale de 2017 et forums annuels de dialogue politique de haut niveau organisés entre 2019 et 2022 ;
  • compréhension partagée des mécanismes permettant de bâtir un système d’éducation et de formation plus résilient, axé sur l’apprentissage de base, le DCTP, l’enseignement supérieur et la recherche scientifique en Afrique ;
  • connaissances, expériences, bonnes pratiques et solutions partagées pour éclairer les politiques et les programmes visant à améliorer le recours à la numérisation dans le processus de construction de systèmes éducatifs résilients ;
  • partenariats favorisés entre les principales parties prenantes afin de promouvoir
  • élaboration et mise en œuvre des politiques et des stratégies ; et
  • déclaration finale qui énonce les engagements des parties prenantes, en particulier des ministres de l’éducation, en vue de l’atteinte des objectifs fixés pour chacun des quatre sous-thèmes et du thème principal, ainsi que les engagements et le message d'appel à l'action de TES.

Approche méthodologique des travaux préparatoires

La Triennale sera organisée selon une approche hybride alliant participation en présentiel et participation virtuelle. Elle durera trois jours (la première journée sera consacrée aux réunions des partenaires et au lancement des expositions, tandis que les deuxième et troisième journées seront consacrées aux principaux événements en séances plénières et en petits groupes).

Format :

  • sessions plénières d’introduction où les discussions créeront un espace pour favoriser une compréhension partagée du thème principal ;
  • sessions en petits groupes : elles offriront l’espace et le temps nécessaires à des discussions approfondies sur les quatre sous-thèmes ;
  • sessions plénières de synthèse où toutes les idées exprimées seront adéquatement examinées et reflétées ; et
  • expositions sur le thème de la Triennale organisées par l’ADEA ou ses partenaires.

Participants :

La Triennale sera organisée en mode hybride avec 300 participants en présentiel et les autres participants auront la possibilité de suivre de façon virtuelle. Les participants attendus seront notamment les décideurs politiques, les parties prenantes dont le secteur privé et la société civile, les partenaires au développement de l’éducation et de la formation en Afrique.

Lieu et date :

Hotel Le Meridien, Maurice, du 19 au 21 octobre 2022.