Jeudi, 16 mars 2017
08:30 - 10:00 |
Table ronde Ministérielle : Une éducation de qualité pour tous et à tous les niveaux |
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Scénario : Il ressort clairement de l'Objectif 4 des ODD de l'Agenda mondial 2030 et de l'Agenda 2063 pour l'Afrique et de CESA 2016-2025, qu’une éducation de qualité doit être la principale priorité de l'Agenda de l'éducation post-2015. Elle doit être holistique, exhaustive et adaptée au contexte. Le nombre croissant d’éléments attestant de la mauvaise qualité de l'éducation qui contribue aux faibles niveaux de l'apprentissage et à des déficits d’apprentissage a mené les décideurs politiques et la communauté internationale à se reconcentrer sur l’amélioration de l’offre d’une éducation de qualité. Les orateurs devraient aborder , entre autres , les défis suivants: (i) Quelles stratégies et mesures politiques se sont avérées une réussite dans l’amélioration de la qualité de l'éducation aux différents niveaux des systèmes éducatifs ?; (ii) Comment des parties prenantes clés – donateurs, enseignants, secteur privé, etc. – peuvent-elles être impliquées par les gouvernements dans leurs efforts pour améliorer la qualité de l'éducation ?; et (iii) Vu l’écart actuel entre les qualifications éducatives et les besoins du marché du travail, comment les gouvernements mettront-ils en œuvre la transformation nécessaire pour rendre l'éducation à tous les niveaux adaptée aux besoins nationaux et au marché du travail? Objectif : L'objectif de cette session est de partager les bonnes pratiques qui ont permis d’améliorer la qualité de l'éducation dans divers domaines comme : (i) l'apprentissage – tester et mesurer les acquis de l'apprentissage, (ii) la formation et la motivation de l'enseignant (iii) l'environnement d'apprentissage–protéger les enfants des abus, de la violence physique et psychologique, ainsi que de la violence basée sur le genre dans l'environnement d'apprentissage ; (iv) la valeur ajoutée de la gestion de l'éducation ; (v) et les connaissances endogènes, la langue nationale et les valeurs africaines. Résultat attendu : Le résultat attendu sera des recommandations concrètes et une définition claire des étapes à suivre pour l'adoption par les pays africains de pratiques et programmes ayant fait leurs preuves. |
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Session parallèle – Groupe A Modérateur : M. Birger Fredriksen Rapporteur : A DETERMINER Orateurs principaux :
Intervenants :
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Session parallèle – Groupe B Modérateur : Dr. Abdulaziz Othman ALTWAIJRI, Directeur General, Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) Rapporteur : A DETERMINER Orateurs principaux :
Intervenants :
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10:00 - 10:15 |
Pause Santé |
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10:15 - 11:30 |
Session plénière : Enseignement supérieur et STEM |
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Modérateur : Mme Kimberly KERR, Directeur adjoint, La Fondation MasterCard Rapporteur : A DETERMINER Orateurs principaux :
Intervenants :
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11:30 - 13:00 |
Présentation des rapports des 4 sessions parallèles |
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Modérateur : M. Richard SACKS, ancien Secrétaire exécutif de l’ADEA Rapporteur : A CONFIRMER Présentateurs des rapports :
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13:00 - 14:00 |
Pause déjeuner |
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14:00 - 16:30 |
Cérémonie d’ouverture officielle |
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16:30 - 17:00 |
Session plénière : Objectif de la Triennale et discours liminaire |
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Mme Oley DIBBA-WADDA, Secrétaire exécutive de l’ADEA
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Dr. Akinwumi Ayodeji Adesina, Président de la Banque africaine de Développement
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17:00 - 18:45 |
Session plénière : Table ronde présidentielle avec les chefs d'Etat – Financement de l’Education |
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Scénario : L'absence d'accès à une éducation de qualité, l'inégalité, l'insuffisance d'enseignants, l'absence d'environnements sûrs et sains d'apprentissage, l’incapacité à financer des programmes d'alimentation scolaire, et l'intégration des TIC dans l'éducation et la formation ne sont pas sans lien avec les contraintes financières au niveau national. Comme l'a noté l’UNESCO, l'Agenda de l'éducation post-2015 exigera « des arrangements innovants, accrus et bien ciblés sur le plan du financement et efficaces sur le plan de la mise en œuvre. Il faut un engagement clair et renouvelé des gouvernements à fournir un financement adéquat et équitable pour les priorités de l'éducation, et un engagement de tous les bailleurs actuels et nouveaux à apporter un soutien supplémentaire ». D’après les projections, la population des 5-14 ans en Afrique devrait augmenter rapidement entre 2015 et 2030. Ainsi, pour rattraper les autres régions en développement sur cette période, les pays africains auront besoin d'investissements dans l'éducation bien supérieurs à ceux d'autres régions. Les questions clés que l'on s'attendra à ce que les Chefs d'Etat africains traitent lors de cette séance incluront : (i) Comme la mise en œuvre de l'Agenda africain 2063 et CESA (16-25) exigera un financement accru de l'éducation, quelles sont les stratégies des différents gouvernements africains pour s'attaquer à la situation ?; (ii) Compte tenu de la diminution de l'aide financière des agences de coopération pour le développement en raison d'autres besoins concurrentiels en matière de développement, les chefs d'Etat et de gouvernement africains envisageraient-ils d'instaurer un Fonds africain de l'éducation continental et durable qui serait insensible aux chocs extérieurs et réactif aux besoins changeants des africains en matière d'éducation? Objectif : L'objectif de cette session est de vérifier comment les gouvernements africains envisagent de gérer le financement massif de l'éducation requis pour la période post-2015. Résultat attendu : Les résultats attendus de cette session sont donc : (i) une stratégie pour financer une éducation de qualité et l'accès à l'éducation ; (ii) un engagement renouvelé des gouvernements africains à accroître l'allocation budgétaire à l'éducation par rapport à d'autres secteurs du développement ; (iii) l'engagement des gouvernements africains à soutenir un Fonds Africain de l'Education en raison de l'évolution des priorités des partenariats pour la coopération au développement ; et (iv) la définition du rôle et de l'engagement de la communauté des affaires (notamment les entreprises multinationales) et la manière dont les gouvernements pourraient les aider à travers des systèmes d'allégement fiscal. |
Modérateur : Dr. Makhtar DIOP, Vice-Président de la Banque mondiale, Région Afrique Rapporteur : A DETERMINER Intervenants :
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20:00 - 22:00 |
Dîner organisé par le Gouvernement de la République du Sénégal |